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| Écrit par CNI Coordination Nationale Infirmiere |
| 26-10-2010 |
 Cet amendement vient d’être retoqué par la Commission Mixte Paritaire (CMP). Le droit d’option est de nouveau d’actualité pour la filière infirmière. Les députés et sénateurs ont bien « touché du doigt » l’injustice qui est faite à notre profession mais cela n’a pas suffit à faire incliner la balance.
De l’espoir à la consternation Les membres de la majorité sont restés inflexibles. Aucune circonstance atténuante, pas de pénibilité professionnelle, pas de reconnaissance des nos difficultés et pas de droit aux remords. Le jeu gouvernemental, avec l’aval du parlement, va spolier des milliers de professionnels. Bien que légitime et attendue depuis plus de 20 ans, la revalorisation de la filière infirmière se fera sur le dos des professionnels puisqu’il s’agit d’un autofinancement scandaleux. Consternant ! Une augmentation compensée par un départ en retraite différé, des chiffres « gonflés à bloc » pour faire avaler la pilule… belle preuve de reconnaissance ! Entre remerciements et mépris La CNI Coordination Nationale Infirmière remercie les parlementaires qui par leurs argumentaires ont témoigné à notre filière un soutien et ainsi acté leur connaissance de notre exercice professionnel. Aux autres nous répondrons par le même sentiment que celui dont ils viennent de faire preuve à notre égard : le mépris. La profession infirmière hypothéquée Atterré par l’injustice flagrante dont témoignent ceux qui annoncent haut et fort une réforme juste et équitable, notre syndicat exprime les plus vives inquiétudes face à l’impact de ces décisions. Il est en effet fort probable que nombre de professionnels opteront pour un maintien en catégorie B ce qui induira une majoration de la pénurie infirmière actuelle… mais peut être est ce là une volonté politicienne… CNI Coordination Nationale Infirmière S’inscrire gratuitement à la newsletter de la CNIEnvoyer cet article |
| Dernière mise à jour : ( 23-06-2011 ) |